Récompensé par le Prix du meilleur album au festival d’Angoulême 2004, Le combat ordinaire dresse, par le portrait de Marco, jeune photographe fatigué, un état des lieux de notre société. Une société marquée par les crises, les angoisses et les doutes, et dans laquelle le dialogue avec l’autre reste le plus sûr moyen de nous réconcilier avec nous-mêmes. C’est sans se départir de l’humour qu’on leur connaît que Robert Sandoz et son équipe entendent accompagner Marco dans ses aventures, où se croisent l’envie de témoigner, par son métier, du travail des dockers, celle de s’occuper de son père atteint de la maladie d’Alzheimer, ainsi que la rencontre avec un vieux pêcheur philosophe et une jolie vétérinaire.